Elementary Translations
Monday - Friday:
9.00 am - 5.00 pm (Paris time)
Your words. Your passion.
In English.
05/09/2024
Tout d'abord, commençons par le début :
Une traduction certifiée est celle que l'on a besoin pour les administrations étrangères ou française, les document en questions sont la plupart de temps des documents officiels tels que les actes de naissance/état civil/décès. Mais peuvent également être des documents ayant une valeur juridique tels que les actes notariales ou des procédures en justice.
Une telle traduction est faite par un traducteur qui est soit assermenté par un Cour d'appel en France soit par un organisme professionnel de traducteurs tel que l'ITI au Royaume-Uni ou ATA aux États-Unis (connu sous le nom de « certified translator » en anglais) qui puisse confirmer l'exactitude et la fidélité de la traduction par rapport au document source, ils sont nécessaire
Maintenant passons à ce qui a changé au Royaume-Uni.
Quand un document n'est pas écrit en anglais ou gallois, et qu'une autorité (ou encore une banque) en demande, une traduction certifiée est nécessaire. Mais il faut faire attention à ce que ce traducteur mette en écrit le suivant sur la traduction (ou l'attestation de conformité de la traduction ) pour qu'elle soit conforme :
✅ Une mention indiquant que la traduction est correcte et fidèle au document source, tel que « This is a true and accurate translation of the original document. »
✅ La date de la traduction
✅ Le nom, prénom et coordonnées du traducteur ayant effectué le travail
Sans ces éléments, votre traduction pourrait être refusé. Ce qui vous sera une perte de temps (et potentiellement d'argent) pour vous.
Toutefois, n'ayez pas peur, un bon traducteur qui travaille dans les règles de l'art le fera d'emblée. Mais il est toujours bon de vérifier.
Vous vous dites : pas évident de trouver un tel traducteur, je préfère passer par une agence – vous le pouvez, bien sûr.
Mais sachez que l'agence n'agira qu'en tant qu'intermédiaire, vous payerez fort probablement plus que ce que vous auriez payé si vous étiez passé directement.
Qu'avez-vous comme autre option ?
➡️ Recourir à un expert traducteur assermenté près un Cour d'appel en France (consultez les listes pour votre secteur)
➡️ Recourir à un traducteur accrédité par un organisme professionnel de traducteurs tel que l'ITI au Royaume-Uni ou ATA aux États-Unis (« certified translator »).
Étant moi-même expert traducteur près la Cour d'Appel d'Agen depuis 2021 en langues anglophones, je peux vous aider. Alors, n'hésitez pas que ce soit pour une demande ou encore poser des questions, vous n'avez qu'à m'envoyer un mail !
#Traductions #TraductionsCertifiées #Royaume-Uni #Anglais
07/09/2023
Surtout au moment de la Coupe du Monde de Rugby qui ouvre ce soir avec le match tant attendu : France–Nouvelle Zélande. 🏉
Les touristes seront au rendez-vous et le français n’est pas forcément une langue qu’ils comprennent. D’où la prolifération des textes en anglais ces derniers temps.
😥 Le seul problème c’est quand ces traductions ne sont pas vraiment à la hauteur ou n’évoquent pas le sens voulu en français.
Mauvaise élève : SNCF
Voici une affiche que j'ai récemment vu quand je suis montée dans un train : « La ola commence dans le train ! »
Six petits mots, ça doit être simple de le traduire. Finger in the nose.* 😁
Allez, on va mettre « The wave starts on the train ! ». C’est très bien.
⚠ Sauf que... la traduction du terme « la ola » (la vague) en anglais n’est pas aussi simple que cela.
Figurez-vous, qu’au Royaume-Uni, la Nouvelle-Zelande, l’Australie et d’autres pays encore, le terme à utiliser est « Mexican wave ».
A savoir que ce n’est pas un terme péjoratif. Selon les dires, le terme « Mexican wave » remonterait au Coupe du Monde de Football en 1986 qui a eu lieu en Méxique, où l’on a vu cette ola a plusieurs reprises.
Toutefois le débat rage par rapport aux origines.
En l’Amérique du Nord, pas de doute. On parle que de « wave » tout simplement. Et cette pratique aurait commencé lors d’un match de hockey en 1979 au Colorado (USA).
⏪ Revenons donc à ce fâcheux terme. A première vue, j’ai sincèrement cru à une mauvaise traduction.
Après tout, dans mon Royaume-Uni natal, on n’utilise pas « wave » dans ce sens.
Tout fin de compte, pour plaire au plus grand nombre on aurait pu traduire par « The (Mexican) wave starts on the train! » (sans l’espace avant le point d’exclamation bien sûr ! 😉).
Ou encore, on aurait pu esquiver le problème entièrement (avec l’aval du client bien sûr) : « Get match-ready on the train! »
Alors, à votre avis, cette traduction méritait-elle tout un flan ? Ou peut-être un bon plaquage ?! 😜
👋 Si l’anglais n’est pas votre fort, mais vous communiquez à l’international, pourquoi ne pas faire appel à un traducteur comme moi pour des traductions réussies en anglais ? Contactez-moi par mail ou téléphone !
* « Finger in the nose », comme on aime dire en France, n'est rien d'autre qu'une traduction au mot à mot. Ce n'est pas une expression chez nous ! Vous avez plusieurs alternatives qui auront l'effet escompté : « Easy as pie », « Simple as ABC »... Alors, faites-le savoir autour de vous !
06/03/2023
When you first meet someone and want to find out more about them, one of the first questions you’ll probably ask is what that person does for a living. So, when you find out that they work as a freelance translator, what kind of image does that conjure up for you?
You could be forgiven for falling into the trap of confusing the role of translator with that of an interpreter (don’t worry, it happens a lot).
Perhaps you’ll also think that being a translator is synonymous with being a walking, talking dictionary who can spew out words in the blink of an eye. I’m sorry to burst the bubble. Any linguist worth their salt will tell you that context is king and that there are so many possible translations for just one word. However, we are resourceful and can work our way out of a linguistic tangle.
Perhaps when you hear the word freelancer, you might picture that person as a lone entity, working from a home office with fewer resources than an agency or company.
If so, think again! As with so many sectors, it’s all about networking, networking, networking – and successful freelance translators are just as aware. As the African proverb goes: “If you want to go fast, go alone. If you want to go far, go together.”
Whether online or in person, we have a community of translators whom we get to know personally and who we trust to discuss sentences that are open to interpretation, ensure we are indeed using terms suited to the industry, and share and benefit from the experience of others.
Taking businesses further: If your company sees that your brand is gaining traction abroad, you’ll want to tap into the potential revenue. So, how do you go about getting a document translated? Are you experiencing or have you experienced any problems in getting a decent text that genuinely represents your values? How do you cope when you need to translate a document into several languages and don’t know where to turn to?
Making life easier for individuals: Because life is complicated enough, let me put my linguistic expertise to your service to make wading through foreign documents that bit easier. After all, once you fully understand what it is you are reading, you're in a much better position to be able to act accordingly.
How I can help you
You deserve the best.
Feel safe in the knowledge that you’re in good hands
when it comes to translation and the many other services that I offer.
03/01/2023
Have you noticed the trend?
A new video pops up in your social media or LinkedIn feed, and more often than not, it’ll have subtitles.
You may ask yourself why that is the case. After all, the presenter is speaking perfectly clearly, so why bother?
Well, let me share with you why it’s more than just a plus for so many:
Now, adding subtitles to videos, whether in the same language or as a translation, requires a bit of skill because some basic rules need to be followed to get good results.
I’m sure you’ll agree with me, there’s nothing worse than having subtitles disappear before you’ve had a chance to read them or having subtitles that are far too long. It’s a sure-fire way of having viewers simply switch off or click away from the content because they feel dizzy trying to keep up.
What’s the recipe for top-notch video subtitles?
1. A good subtitle editor tool.
There is a vast array of software available online, personally I’m a fan of Aegisub as it’s very user-friendly and it’s widely used by fansubbers around the world.
2. Time coding that’s bang on target. This is where the skills and experience of the person producing the subtitles very much come into play. It’s all about making sure that the subtitles appear the moment the speaker starts talking and, where possible, ending them at the same time, which is easier said than done! If you’ve ever noticed that the subtitles don’t exactly reflect what the person has said, then it may be because other constraints came into play, as you’ll see below.
3. Getting the reading speed right. To make the experience of watching a video enjoyable, the person needs to have sufficient time to read the subtitles and look at the video without getting dizzy. As a general rule of thumb, a maximum of 15 characters per second (CPS) makes for easy reading in English.
4. Line length and line breaks. Units of meaning need to be kept together. There should be no more than two lines per subtitle, with no more than 40 characters per line (ideally 37). Where possible, a natural pause, such as a comma or full stop, is the perfect occasion for a line break.
5. Sounds. If a door slams, a siren wails, or a gun goes off, someone who is deaf or hard of hearing may not hear that. It may be a vital part of a plotline, and that clue needs to be shared with all. By adding a simple [BANG] or [A door slams], you’re giving that extra bit of information to make watching your video that bit more exciting.
6. Quality control. Before heading on to the last step of encoding, it’s very important to watch the video with the subtitles to make sure that they display at the right time, that they do not overlap, and that there are no blanks when there should be text.
7. Encoding. To ensure the seamless publication of your video, you’ll probably want to provide your video in MP4 format. There’s a last little bit of work to transform your SRT file (also known as a SubRip Subtitle file) with all the timecodes and formatting in an MP4 file. Encoding is relatively quick, and once that’s done, it’s plain sailing for an enjoyable experience for your viewers!
Sound great! How long does it take?
Give yourself plenty of time. You’ll need at least five to ten times the duration of your video to produce captions (subtitles) for it.
In more concrete terms, if you have a video that lasts an hour, you’re looking at a minimum of five to ten hours subtitling.
Bear in mind that producing video translations is even more time-consuming. For the best results, you should have a script to guide you, but better yet, use an experienced translator like me to ensure that the text flows well and reflects what the speaker has said.
Spend your time on what you do best; let me do the legwork for you instead!
09/01/2022
Si vous ne le saviez pas, l'anglais est une langue d'une richesse incroyable.
Selon la deuxième édition du dictionnaire Oxford English Dictionary, il n'y a pas moins que 171.476 mots couramment utilisés, et près de 50.000 qui sont devenus obsolètes.
Alors quand il s'agit d'utiliser LE bon mot ou expression en anglais pour traduire vos mots, il faut avoir la certitude que vous l'avez bien choisi. Sinon vous courez le risque que vos lecteurs soient ou bien « Lost in Translation » avec une traduction infidèle, ou bien une traduction qui n'a ni queue ni tête dans leur langue.
Pensez-y : si une image vaut mil mots, alors on pourrait formuler ces mêmes mils mots de moultes manières selon le public visé et selon vos cahiers des charges, seule une personne ayant une réelle maîtrise de la langue peut mener à bien cette tâche.
Puisque le but ultime d'un site web est de communiquer sur un produit ou service, susciter de l'intérêt et booster les ventes, la traduction en anglais se doit d'être aussi bien rédigé que l'original. Qu'elle soit agréable à lire et remplit sa fonction.
Elle peut même être encore mieux : un traducteur professionnel va rentrer tellement dans le détail, qu'il peut vous signaler si des erreurs de typographie ou de grammaire sont rentrés à votre insu, ou encore vous signaler quelques endroits qui prêtent à confusion dans le texte source. Une valeur ajouté que vous n'y avait même pas pensé.
Quand il s'agit de traduire un site web en anglais, un traducteur professionnel va vous demander plusieurs questions afin de mieux vous comprendre et votre public. Le ton sera différent selon votre lectorat.
Il y a bien évidemment l'âge à prendre en compte : si c'est pour des tous petits, des adolescents, des adultes ou des seniors.
Après, il faut aussi prendre en compte le ton voulu : ton formel / informel ; le texte est-il censé être didactique, humoristique ou encore sarcastique ? Cela va dépendre de vous et de votre marque et l'image que vous avez décidé de projeter.
Dans le monde accéléré d'aujourd'hui, nous sommes devenus peu patients. Nous ne souhaitons pas creuser pour lire entre les lignes (du moins pas pour comprendre ce que l'on veut nous vendre). Nous voulons l'information de suite. Et comme vous le savez bien, nous sommes submergés avec du contenu toute la journée.
Votre contenu doit attirer toute l'attention de vos (potentiels) clients quand vous avez réussi à générer du trafic vers votre site. Si le taux de rebond de vos pages en anglais est nettement plus haut par rapport à celles en français, il se peut que la qualité de la traduction ne soit pas à la hauteur.
Selon une étude par le Common Sense Advisory dans 10 pays non-anglophones, 72,4 % des 2.430 personnes consultées disaient qu'ils seraient plus à même d'acheter un produit si l'information était disponible dans sa propre langue.
Bien évidemment, cela en va de même pour les consommateurs qui considèrent l'anglais comme leur langue maternelle.
Alors oui, vous pouvez tout à fait demander à un collègue bilingue ou une personne qui « maîtrise parfaitement l'anglais » de traduire vos textes. Dans ce cas-là, a minima, faites-le relire par une personne qui ne parle que l'anglais, rien d'autre, pour vérifier la qualité.
Ou encore, vous pouvez faire encore plus simple et plus efficace : profiter de mon expérience en tant que traductrice qualifiée qui est anglaise 🏴. Contactez-moi par téléphone ou par mail pour décrire votre projet et travaillons ensemble !
30/11/2021
Il était une fois... Une vilaine sorcière vivait dans les bois et elle s'amusait à rajouter et supprimer des lettres de tout texte écrit lui passant sous son nez...
Que vous croyez aux sorcières, fées ou trols, n'en est pas la question. Ce dont je vous parle ce sont les omissions ou rajouts d'un pauvre petit lettre qui peut avoir un réel impact sur la manière dans laquelle les lecteurs vont comprendre des textes.
Une coquille peut être une omission ou une substitution d’une lettre par une autre faite par erreur lors de la rédaction d’un texte.
Il suffit que le rédacteur soit interrompu au mauvais moment et au lieu d’écrire « court » (comme il court), qu’il écrive « cour » (comme une cour d’appel).
Si vous avez de la chance, une vérification d’orthographe et de grammaire en amont de l’impression ou publication en ligne pourrait permettre de corriger l’erreur à temps. Mais que se passe-t-il si ce n’est pas le cas ?
🦸 Eh bien, c’est au moment de traduire vos textes que le traducteur peut devenir votre meilleur ami ! 🦸
Voici un réel exemple tiré d’un document que j’ai traduit du français vers l’anglais : en l’occurrence, le mot n’était qu’une pauvre lettre inoffensive – l’adverbe « ci-dessus ».
❌ Le problème était que le rédacteur aurait dû mettre « ci-dessous ».
Vous conviendrez que c’est une sacrée contradiction, et une qui est particulièrement dangereuse dans les contrats.
Revenons à notre erreur qui s'est passé inaperçu jusqu'au moment de la traduction.
Le résultat en anglais va dépendre entièrement de la manière que vous utilisez pour traduire :
1. Si vous choisissez un outil de traduction automatique en ligne, il traduira conformément au texte source, ce qui implique que l’erreur sera également présente dans la traduction.
Il se peut que cette erreur passe inaperçue en interne et pour des clients. Mais si c’est vos clients qui le constatent, c’est fort dommage et entièrement évitable. 🤦
2. Si vous demandez à une personne ayant suffisamment des connaissances linguistiques de le traduire et si elle a bien compris le texte dans son ensemble, il se peut qu’elle relève l’erreur.
Mais il est tout à fait possible qu’elle ne le repère pas non plus.
3. Votre dernière option est de recourir à des traducteurs expérimentés pour ce travail. 💡
Grâce à leur formation, ils connaissent l’importance de lire le document dans son intégralité en amont, afin de comprendre ce qu’a voulu dire le rédacteur et ils vont donc relever l'erreur.
De plus, ils ont les compétences pour identifier et faire remonter le problème pour correction.
Les traducteurs ne traduisent pas que des mots, ils traduisent le sens d’un texte.
En ce qui me concerne, ce qui importe est d’être méticuleuse et de passer les documents au peigne fin.
En conséquence, quand je vois une phrase qui n’a ni queue ni tête, ou qui se prête à plusieurs interprétations, je me renseigne toujours auprès du client.
N’oubliez surtout pas, afin d’avoir des textes et ensuite des traductions de qualité, il vous faut des personnes qui maîtrisent les mots ! ✍️
Ne cherchez plus : votre magicienne en anglais est là pour vous : contactez-moi par téléphone ou par mail et parlons de vous !
(Crédit photo : Photo by cottonbro studio: https://www.pexels.com/photo/written-word-on-white-paper-with-missing-letter-5124899/
24/11/2020
Peu de personnes peuvent dire que le français du Canada (québécois) et le français « international » du Métropole est identique. Il en va de même pour l’anglais du Royaume-Uni et l’anglais des États-Unis.
En l’occurrence, il y a tellement de différences entre ces deux variantes d’anglais Uni que c’est un sujet que je trouve incroyablement passionnant en tant que britannique, anglophile et traductrice ! Pourquoi donc ?
Parce que, tout simplement, pour des raisons historiques et culturelles, nous les britanniques ne sommes pas du même avis que nos amis américains en ce qui concerne beaucoup d’éléments, y compris comment nous communiquons.
Cela date-t-il du Boston Tea Party le 16 décembre 1773, date à laquelle les colonies américaines ont osé jeter à l’océan notre thé chéri, marquant ainsi le début de nos divergences ? Nul ne saurait le dire.
Mais puisque je ne suis pas historienne, je ne m’aventurerai pas dans des sujets que je ne maîtrise pas. Revenons à l’anglais. Vous verrez ainsi combien cette belle langue peut se différencier quand on parle de la variante britannique et celle des États-Unis.
1. L'orthographe ✍️
Quand vous faites une demande en anglais, utilisez-vous le verbe enquire ou bien inquire ?
Selon où vous vous trouvez dans le monde anglophone, un des deux serait inacceptable (c’est-à-dire enquire et enquiry n’est pas approprié au USA). Au Royaume-Uni, les deux peuvent s’utiliser mais ont des sens différents. Vous pouvez faire une demande pour des prix ou services (enquire) alors qu’un inquiry serait plus d’usage pour les enquêtes publiques.
Quoi qu’il en soit, un anglophone pur et dur saura vous dire de suite le type d’anglais utilisé en écrit sur la simple base de l’orthographe.
Voici quelques exemples:
Concrètement : label > labelling > labelled au Royaume-Uni ;
label > labeling > labeled aux États-Unis.
2. Poids, distance & température ⚖️📏🌡️
Rien de plus simple aux États-Unis.
Vous utilisez le système impérial partout : on mesure le poids en pounds, ounces et tons; les distances en inches, feet, yards et miles; et la température est affichée en degrés Fahrenheit (°F).
Les choses se compliquent au Royaume-Uni par contre.
Le système impérial était notre système de mesure officiel jusqu’en 1965, date à laquelle le système métrique fut adopté afin d’homogénéiser avec le reste de l’Europe, son principal partenaire commercial.
Bien qu’il ait pris du temps à être accepté, le système métrique est désormais d’usage ce qui nous donne nos grammes, metres et degrees Celsius (°C). Bien évidemment, comme tant de fois, il y a quelques exceptions officielles qui dérogent à cette règle : les distances sont en miles, la vitesse en mph et les quantités de liquides en pints (après tout on aura du mal à dire 568 ml de bière… !🍺).
3. Nourriture & Boissons 🍔
Si vous êtes an as de la cuisine, fan de recettes anglophones, vous aurez certainement constaté des différences importantes entre l’anglais du Royaume-Uni et celui des États-Unis. Ici il ne s’agit pas que du système pour mesurer les ingrédients sachant que les américains utilisent des cups au lieu des grammes.
Voici mes favoris :
4. Dates, Heures & Saisons
📆 Dates : Comment interprétez-vous la date 04/10/2020 ?
Selon l’endroit où vous habitez, vous l’interpréterez différemment.
Au Royaume-Uni, il s’agirait du 4 octobre 2020, alors qu’au USA, il s’agirait du 10 avril 2020 !
La meilleure manière d’éviter ce genre de problématique est d’écrire la date entièrement ou encore adopter le format international proposé par ISO soit : aaaa/mm/jj ce qui nous donne 2020-10-04.
L’anglais est comme vous le conviendrez un vrai casse-tête, il y a presque toujours une exception même quand vous pensez avoir une règle ! Prenons l’exemple des attaques terroristes de 2001 à New York, peu importe où nous habitons dans le monde anglophone, nous parlons de 9/11, même si nous savons pertinemment qu’elles ont eu lieu le 11 septembre.
⌚ L'heure : L’horloge de 12 heures ou 24 heures ?
En règle générale, où que vous soyez dans le monde anglophone, l’horloge des 24 heures serait de mise pour les horaires de train, bus et avions ou dans l’armée.
Toutefois, le Royaume-Uni commence progressivement à employer davantage l’horloge des 24 heures dans des textes écrits uniquement. Cela est dû en partie à nos liens avec l'Europe.
Il est également utile pour surmonter la confusion concernant 12.00 am et 12.00 pm (en l’occurrence il s’agit de minuit et midi respectivement).
Aux États-Unis, l’horloge des 12 heures est l’option préférée pour les entreprises et commerces, à l’oral ou à l’écrit.
🍂 Saisons :
Si vous êtes actuellement au Royaume-Uni, l'automne (autumn) pointe son nez, alors qu’aux États-Unis, il s’agit plutôt de fall, faisant ainsi référence à la tombée des feuilles.
Les différences ne s’arrêtent pas là ! Quand les britanniques partent en vacances l’été et l’hiver, il s’agit des holidays ; aux États-Unis ce serait plutôt pour des vacations !
5. Vocabulaire 🖊️
Cette rubrique mérite un article à elle-seule. Mais je vais vous donner quelques exemples illustrant la manière dont nos pays ont évolué pour avoir des termes drastiquement différents pour la même chose. 🤯
Regardons de plus près :
Voitures et Routes 🚗🚧
À part le fait que nous conduisons d’un côté ou de l’autre sur les routes, il y a des différences surprenantes entre nos 2 versions d’anglais.
Ci-dessous je vous donne le terme du Royaume-Uni contre celui des États-Unis :
Comme vous l’imaginez, il y a bien d’autres termes à rajouter à cette liste !
Endroits & professions : 🏪
Quand vous allez au supermarché, allez-vous au supermarket ou bien au grocery store ? Et bien, un britannique ira au premier et le Yankie au second !
Si vous êtes malade, vous ferez bien de visiter un médecin : un doctor ou GP (general practitioner) au Royaume-Uni, et un physician aux États-Unis.
Si vous tombez vraiment malade et devez aller illico presto à l’hôpital, il y a des fortes chances que vous vous retrouviez au A&E (Accident & Emergency) au Royaume-Uni. De l’autre côté de l’océan, vous irez certainement au ER (Emergency Room) où malheureusement vous aurez peu de chance de tomber sur George Clooney !
Et pour terminer, que se passe-t-il à la maison ? Si vous aimez vous mettre au soleil dans le jardin pour lire un bouquin, vous le ferez au garden au Royaume-Uni, et à l’inverse aux États-Unis vous vous retrouverez dans votre back yard (ou front yard) !
Vêtements 👚
Je me suis rendue compte que nous ne parlons pas des vêtements de la même manière. Quand je papotais avec une copine américaine et je parlais de mes pantalons (trousers) 👖. Perplexe, elle me demandait si je ne parlais pas plutôt des pants 👖, ce qui me faisait rire car c’est un terme que nous employons pour les sous-vêtements en Angleterre 👙, alors qu’elle aurait parlé de underwear !👙
Vous voyez ? Avec seulement trois termes, il y a des différences énormes !
Passons aux chaussures et spécifiquement aux baskets 👟 : au Royaume-Uni nous portons des trainers, alors qu’aux États-Unis il s’agit des sneakers.
Et pour terminer, à Noël 🎄, c’est l’occasion de porter le pull moche - ugly jumper (au Royaume-Uni) ou sweater si vous êtes de l'USA !
Conclusion
Vous l’avez vu par vous-même, l’anglais n’est pas une mince affaire.
Il n’y a pas de mot ‘correcte’ ou ‘incorrect’ quand il s’agit de l’anglais de nos pays, au final ce n’est qu’une question d’où vous habitez. Forcément on ajuste notre langage afin de participer plus pleinement à la vie de là où l’on habite ou aux personnes avec qui nous souhaitons communiquer.
En tant que traductrice et relectrice, c’est mon travail d’être à l’affût de ces différences.
Je demande systématiquement à qui s’adresse le document afin d’assurer un texte qui reflète la réalité dans ledit pays. Il n’y a rien de pire que de lire un document bourré d’un mélange des deux !
Et bien sûr, je n’évoque que les différences uniquement entre l’anglais des États-Unis et celui du Royaume-Uni. En aucun cas, il ne s’agit de ce la fin de l’histoire.
L’anglais du Canada, Australie ou encore Nouvelle Zélande est toute autre chose ! En tant que pays Commonwealth anciennement sous l’autorité britannique, l’anglais du Royaume-Uni est bien enraciné dans ces pays. Néanmoins, ils ont été influencés par les USA et ont ainsi adopté certains termes US.
Les facteurs sociaux, régionaux et culturels font en sorte que la langue change afin de refléter la réalité de la vie là-bas. En conséquence, nos amis canadiens, australiens et les Kiwis ont leur propre vocabulaire adapté à leurs besoins et identité.
La langue est en évolution constante : quelques mots sont inventés, d’autres empruntés, mais le but de faciliter la communication demeure le même.
Et vous, quels mots anglais aimez-vous qui sont différents selon là où vous êtes ?
09/11/2020
📖 Let me tell you a story about how the omission or the addition of a single letter can have a real effect on how your readers understand your texts. 📖
A typo (shorthand for typological error) is a mistake that occurs in printed texts. A person simply needs to be distracted at the wrong moment and instead of typing “life”, he or she writes “lift”.
Now, if you’re lucky, spellcheck or proofreading before print may spot and correct the error, but what happens if that doesn’t happen?
🦸 Well, that’s where a translator may well be your saviour! 🦸
Here’s a real-life example taken from a document that I was translating from French into English: the word in question was such a small, inoffensive one – the French adverb “ci-dessus”, meaning above or aforementioned.
❌The problem was that the writer should have put “ci-dessous”, meaning below or hereafter.
Quite the contradiction, I’m sure you’ll agree, and it’s one that is particularly troublesome in contracts.
Now, if the error hasn't been spotted before translation, then how you choose to go about translating will have a real impact on the end result:
Translators don’t just translate words; we translate meaning.
The name of the game for translators like me is to be meticulous and to go through documents with a fine-tooth comb. So, when I see something that is totally out of keeping with what has been said before, or if anything is open to interpretation, I always flag the issue up before delivery.
Remember, if you want great texts and great translations, then you really do need great wordsmiths! ✍️
08/09/2020
Over the course of your life, I’ll bet that you’ve come across at least one text that you knew was a translation straight off the bat.
🙈 If that’s the case, then it was a poor translation because as a translator, our job is to remain hidden, and for you to read the text as if it were originally written in your language. 🙈
Today’s article is precisely about one of the points that immediately reveal that a translation is not up to par, and that is the incorrect translation of subject and object pronouns.
Let’s start with a (very basic) grammar lesson in English.
Subject and object pronouns (e.g. I, me) are handy when it comes to avoiding unwieldy sentences and incessantly having to repeat a noun (person or thing).
Kelly loves reading books. She reads books all the time.
Kelly loves reading books. Kelly reads them all the time.
👍 So far so good 👍
Now, here’s where things typically go wrong when a non-native speaker who is not trained in translation (or a machine translation tool) incorrectly translates subject and object pronouns from French and Spanish into English.
In English, the third person comes in three forms in the singular and plural: male (person), female (person) and lastly, to denote objects. This gives us the following pronouns:
Subject pronoun Object pronoun
3rd person (singular) He / She / It Him / Her / It
3rd person (plural) They Them
In French and Spanish, the third person comes in two forms – male and female, irrespective of whether this refers to a human being, an animal or an inanimate object.
⏩ To put that all in context and understand the potential ramifications, let’s take the word “company”. The Spanish and French equivalents, entreprise and empresa, are both feminine nouns.
It’s when they become pronouns that problems can arise in translation.
Take this example in French:
“L’entreprise a connu une période difficile à cause du Covid-19. Elle doit désormais aller vers l’avant si elle veut assurer sa rentabilité."
✅ Here’s one possible translation:
“The company has gone through a tough period as a result of Covid-19. It now needs to forge ahead if it wants to ensure its profitability.”
❌ And here’s an example of a translation where the pronouns have very much been misunderstood:
“The company has gone through a tough period as a result of Covid-19. She now needs to forge ahead if she wants to ensure her profitability.”
The native English speakers out there will undoubtedly think that I’m pulling their leg.
After all, the sentence given above is clearly incorrect. It merely serves as an extreme example to illustrate my point because, let me assure you, I have seen and corrected this error regularly.
⚠️ Sloppy translations cost money in the long run to correct them and are also a source of embarrassment.⚠️
💡 If you want to be sure of having a high-quality text in another language, it’s time to hire a professional translator! 💡
06/07/2020
English is an incredibly rich language. According to the Oxford English Dictionary, there are 171,476 words commonly in use and nearly 50,000 words that have become obsolete.
That makes it very easy for a message written in another language to get lost in translation. After all, if a picture is worth a thousand words, well, those thousand words could be conveyed in a very different way depending on the audience and what was originally intended.
💬 Given that the ultimate aim of a website is to communicate a message, and when the purpose of that message is to promote a product, generate interest in your company and drive sales, then it's got to be spot on. 💬
When it comes to translating a foreign-language website into English, it's important to be sure that it's suitable for your audience - the register chosen will reflect who you are targetting, whether it be young trendsetters or a more mature and niche readership.
In today's fast-paced world, we've all become a bit too impatient for our own good. We don't want to have to read between the lines, we want to understand the message straight off the bat. As you know all too well, we swipe through so much content every day that you need to keep your audience interested when you succeed in getting traffic to your website.
According to a survey carried out by the Common Sense Advisory in 10 non-English speaking countries, of the 2,430 consumers consulted, 72.4% held the view that they would be more likely to buy a product if the information were available in their own language.
Of course, the same rings true for English-speaking consumers.
So rather than attempt a translation using the usual suspects or a bilingual colleague, why not make the most of the skills of qualified and experienced 🏴 native English translators 🏴?
😊 We are trained to be meticulous in our work, to research into finding the most suitable words and style for your audience, to ensure there is no ambiguity and above all, to produce clear attractive content. 😊
✍️ Time to sit back, relax and let the translators do what they do best: translate. ✍️
30/06/2020
Je parie que vous êtes tombé au moins une fois au cours de votre vie sur un texte dont vous avez compris tout de suite que c’était une traduction tellement il était mal écrit.
Mais à l'heure de ChatGPT, Google Bard et compagnie, il s'avère de plus en plus difficile pour un non-initié de détecter les erreurs.
🙈 Alors, si vous vous êtes tombé sur une traduction qui vous a sembler un peu étrange récemment, demandez-vous pourquoi. Est-ce que c'était un mot qui n'avait rien à voir avec le contexte ? Ou encore une phrase qui vous a fait rigoler tellement que c'était bizarrement dit ? 🙈
Sachez que tout traducteur digne de ce nom, cherche à faire en sorte de passer inaperçu pour que vous lisiez un texte comme s’il était d’origine.
Le but de cet article d’aujourd’hui concerne précisément un de ces éléments qui nous prouvent que la traduction n’est pas à la hauteur : les pronoms personnels.
Commençons par le début avec une leçon (très basique) de grammaire.
Les pronoms personnels en tant que sujet du verbe remplacent les noms des personnes ou objets auxquels nous avons fait allusion dans la phrase ou paragraphe précédent, soit c’est la personne ou l’objet qui a fait l’action. Par exemple :
Sandrine adore lire des livres. Elle lit des livres tout le temps.
Les pronoms personnels peuvent aussi être des compléments. Par exemple :
Sandrine adore lire des livres. Sandrine les lit tout le temps.
👍 Jusque-là, tout est bon, n'est-ce pas ? 👍
Le problème se pose lors de la traduction de ces pronoms personnels vers l’anglais et c’est souvent ceux qui ne maîtrisent pas à 100 % la langue (ou les moteurs de traduction automatique) qui les traduisent de façon incorrecte.
En anglais, la troisième personne prend trois formes que ce soit au singulier ou au pluriel : masculin (utilisé seulement pour des personnes de sexe masculin), féminin (à nouveau seulement pour des personnes mais de sexe féminin) et neutre (pour les objets). Ce qui nous donne :
Pronom personnel (sujet) Pronom personnel (objet)
3ième personne (singulier) He / She / It Him / Her / It
3ième personne (pluriel) They Them
En français, la troisième personne se décline en deux branches grammaticalement – le masculin et le féminin, qu’elle désigne un être humain, un animal ou un objet.
⏩ Concrètement, afin que vous puissiez comprendre les conséquences sur la traduction, prenons le mot « entreprise » dont l’équivalent en anglais est « company »..
C’est au moment de changer de nom à pronom que les problèmes surgissent en anglais.
Prenons l’exemple ci-dessous :
“L’entreprise a connu une période difficile à cause du Covid-19. Elle doit désormais aller vers l’avant si elle veut assurer sa rentabilité."
✅ Voici une traduction correcte parmi d'autres :
“The company has gone through a tough period as a result of Covid-19. It now needs to forge ahead if it wants to ensure its profitability.”
❌ Et voici un exemple d’une traduction qui montre que les pronoms ont été mal compris et de par ce fait, mal traduits :
“The company has gone through a tough period as a result of Covid-19. She now needs to forge ahead if she wants to ensure her profitability.”
Ceux qui comptent l’anglais comme leur langue maternelle vont ce demander qui c'est ce fameux "she", puisque ce mot désigne une personne de la genre féminine. Elle puisque le texte est devenu peu clair, les lecteurs vont plus prêter autant attention au contenu, pire encore, il vont juste zapper à autre chose.
Ce type d’erreur est récurrent et je l’ai corrigé à maintes reprises lors des relectures.
⚠️ De plus, les traductions faites sans un contrôle qualité par un traducteur ou une deuxième personne bilingue coûtent de l’argent au long terme, nécessitant une correction. Ils sont aussi source d’embarras si ces erreurs restent inchangés.⚠️
💡 Donc, afin d’être sûr d’avoir un texte de qualité dans une langue que vous ne maîtrisez pas, adressez-vous à un traducteur expérimenté, comme moi ! C'est facile - cliquez ici.
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